Cette image me représente peite fille.
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L’enfance de l’art #1

Dans cette série d’articles, j’ai eu envie de me pencher sur mon cheminement artistique. Je suis arrivée à un tournant de ma vie où je relis les divers événements et où je passe en revue les différents domaines de ma vie, dont le domaine artistique et créatif.

Mes premiers souvenirs de dessin et de peinture

Aujourd’hui, je vous raconte mes premiers souvenirs en lien avec le dessin, la peinture.

croquis au stylo noir d'une petite fille déguisée en princesse qui dessine une princesse sur un chevalet
croquis du jour de l’image que cela évoque

Thème favori :

J’adorais dessiner des robes de « princezes ». Les princesses étaient mon sujet favori. J’étais persuadées de la justesse de la prononciation de ce mot et je trouvais la prononciation des adultes laide et fausse. J’ai découvert en apprenant à lire, très, très déçue, que le mauvais goût pouvait avoir raison : première remise en cause de mes certitudes par la science! Je devais donc avoir 4 ou 5 ans.

Souvenirs émouvants :

J’ai été très émue quand mon grand-père, papi Raymond, m’a montré la pochette portant mon prénom (une pour chacun de ses petits enfants) et qui contenait les dessins de ma main qu’il avait gardés.

La peinture et moi : pas gagné!

Je me souviens aussi de la galère de la peinture en maternelle : une peinture beaucoup trop liquide pour rester à sa place sur le papier vertical de mon chevalet! J’ai donc cru très tôt être fâchée avec la couleur et les pinceaux, la peinture en général (oh, la couleur involontairement salie par le mélange d’un pinceau mal/pas lavé et de la couleur souhaitée! Que c’était exaspérant!)

Pensées limitantes :

J’ai très vite trouvé plus sages et dociles les feutres (mais ô combien fastidieux les coloriages, pas assez créatifs, sans doute) et plus tard le crayon à papier et ses nuances et enfin, l’encre. Plutôt le dessin d’observation et d’imagination que la copie (pourtant obligée) ou la peinture.

L’âge de la copie :

Comme dans la formation naturelle d’un être, dans celle d’un peintre, la copie est une étape fondamentale. Je me souviens avoir copié des centaines de fois un tableau représentant Bambi (pas vraiment la version sous licence) et l’avoir « appris par cœur », plus tard, avoir dessiné des silhouettes de mode aux proportions fallacieuses puis pleinement assumées.

Conclusion temporaire :

Finalement, je me suis crue plus dessinatrice que peintre, plus observatrice qu’expérimentatrice, fâchée avec le pinceau et la couleur.

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1 commentaire

  1. […] sur un malentendu , car je pensais être fâchée avec les pinceaux et la couleur ( cliquez pour voir cet article). J’avais même oublié que j’avais déjà essayé aux […]

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